Au mois d’avril 2011, un nouveau rapport a été remis au Ministre du travail, de l’emploi et de la santé à sa demande. Ce rapport intitulé : « mesurer les facteurs psychosociaux de risque au travail pour les maîtriser » à été fait par un collège d’expertise.
Un précédent rapport sur le stress au travail avait été fait par Patrick Legeron, médecin psychiatre et le regretté Philippe Nasse, magistrat honoraire et remis à Xavier Bertrand, le 12 mars 2008 qui était aussi à l’époque le Ministre du travail. Suite à leurs recommandations, le Ministre du travail avait demandé à l’INSEE de former et d’animer un collège d’expertise sur le suivi des risques psychosociaux au travail.
Il fut intéressant de lire les conclusions des experts car ils ont essayé d’analyser tous les cas de figures et leur étude s’est concentrée sur différents cas tels :
Le stress au travail dans le secteur privé et public
Le facteur stress sur un travailleur salarié ou un travailleur indépendant.
Les conséquences de l’intensité du travail et du temps de travail sur l’être humain
La sécurité de l’emploi, le salaire et la carrière sont –ils facteurs de stress ?
A ce titre, le stress touche bien plus le travailleur non-salarié qui a souvent des heures plus longues de travail. Il doit gagner son salaire et donc être à la recherche constante de client. Selon ces experts, l’insécurité éprouvée par le travailleur indépendant « peut être relative à la pérennité de l’entreprise ou au maintien d’une prospérité suffisante de celle-ci pour assurer le niveau de rémunération du chef d’entreprise ».
Les problèmes de santé mentale dont l’anxiété et la dépression constituent l’essentiel des troubles pour la population au travail. Le suicide représente en 2008 les premières causes de mortalité chez les 25 à 44 ans. La même année une personne sur cinq déclarait souffrir d’une lombalgie, d’une sciatique ou d’un lumbago.
Le comité d’expert préconise d’envoyer un questionnaire à un certain nombre d’entreprises pour évaluer le stress au travail. Ils estiment que la première source d’information sur ce sujet est le travailleur.
En plus de ce rapport sur les risques psychosociaux, il faut aussi souligner le stress touchant très fortement les femmes qui assurent ce que l’on appelle la « double journée». En effet, après le travail, la journée est loin d’être terminée car elles doivent effectuer des tâches domestiques à la maison et s’occuper des enfants. Elles sont très souvent seules à élever un enfant et plus de 80% de femmes travaillent à temps partiel, et dans ce cas-là on pense à la caissière. Le stress est très élevé dans le monde médico-social et dans le secteur de l’éducation.
Pour plus de détails sur ce rapport, consultez le site du ministère du travail: www.travail-emploi-sante.gouv.fr/
Un précédent rapport sur le stress au travail avait été fait par Patrick Legeron, médecin psychiatre et le regretté Philippe Nasse, magistrat honoraire et remis à Xavier Bertrand, le 12 mars 2008 qui était aussi à l’époque le Ministre du travail. Suite à leurs recommandations, le Ministre du travail avait demandé à l’INSEE de former et d’animer un collège d’expertise sur le suivi des risques psychosociaux au travail.
Il fut intéressant de lire les conclusions des experts car ils ont essayé d’analyser tous les cas de figures et leur étude s’est concentrée sur différents cas tels :
Le stress au travail dans le secteur privé et public
Le facteur stress sur un travailleur salarié ou un travailleur indépendant.
Les conséquences de l’intensité du travail et du temps de travail sur l’être humain
La sécurité de l’emploi, le salaire et la carrière sont –ils facteurs de stress ?
A ce titre, le stress touche bien plus le travailleur non-salarié qui a souvent des heures plus longues de travail. Il doit gagner son salaire et donc être à la recherche constante de client. Selon ces experts, l’insécurité éprouvée par le travailleur indépendant « peut être relative à la pérennité de l’entreprise ou au maintien d’une prospérité suffisante de celle-ci pour assurer le niveau de rémunération du chef d’entreprise ».
Les problèmes de santé mentale dont l’anxiété et la dépression constituent l’essentiel des troubles pour la population au travail. Le suicide représente en 2008 les premières causes de mortalité chez les 25 à 44 ans. La même année une personne sur cinq déclarait souffrir d’une lombalgie, d’une sciatique ou d’un lumbago.
Le comité d’expert préconise d’envoyer un questionnaire à un certain nombre d’entreprises pour évaluer le stress au travail. Ils estiment que la première source d’information sur ce sujet est le travailleur.
En plus de ce rapport sur les risques psychosociaux, il faut aussi souligner le stress touchant très fortement les femmes qui assurent ce que l’on appelle la « double journée». En effet, après le travail, la journée est loin d’être terminée car elles doivent effectuer des tâches domestiques à la maison et s’occuper des enfants. Elles sont très souvent seules à élever un enfant et plus de 80% de femmes travaillent à temps partiel, et dans ce cas-là on pense à la caissière. Le stress est très élevé dans le monde médico-social et dans le secteur de l’éducation.
Pour plus de détails sur ce rapport, consultez le site du ministère du travail: www.travail-emploi-sante.gouv.fr/